Astrologie conditionaliste

L'astrologie conditionaliste est un courant de l'astrologie française. Pour ce mouvement, l'homme est influencé par l'hérédité, nommé l'héritage terrestre, et par le dispositif solaire, nommé l'héritage céleste.



Catégories :

Astrologie - Art divinatoire

Recherche sur Google Images :


Source image : comac.free.fr
Cette image est un résultat de recherche de Google Image. Elle est peut-être réduite par rapport à l'originale et/ou protégée par des droits d'auteur.

Page(s) en rapport avec ce sujet :

  • Le dispositif solaire peut être divisé en trois champs : Représentation (R), ..... Par le langage du R. E. T. ® l'astrologie conditionaliste s'est libérée de toute... Le moyen terme, l'activité concrète, l'adaptation aux faits ainsi qu'aux choses, ... (source : astroconsults.free)

L'astrologie conditionaliste est un courant de l'astrologie française. Pour ce mouvement, l'homme est influencé par l'hérédité, nommé l'héritage terrestre, et par le dispositif solaire, nommé l'héritage céleste. Il ne prétend plus faire des prédictions exactes comme l'astrologie classique, mais affirme que la psychologie des individus dépend de la position des astres.

Par le terme conditionaliste, il s'oppose principalement à un déterminisme astral strict que l'expérience ne vérifie guère. Ce n'est néenmoins pas un postulat d'origine, mais une conséquence de l'approche originale qui est suivie.

Origine de l'astrologie conditionaliste

En 1965, au moment de la publication de «La Condition Solaire» par Jean-Pierre Nicola, il n'existait que quelques astrologues pour se réclamer de cette école. Depuis cette date, l'astrologie conditionaliste s'est développée, s'exprimant dans la presse spécialisée et l'édition comme un courant en marge de l'astrologie respectant les traditions et de l'astro-psychologie. Elle cherche à fonder l'astrologie sur de nouvelles bases ainsi qu'à redécouvrir ou réinterpréter les conclusions du Symbolisme, ou autres considérations astro-psychologiques.

L'esprit conditionaliste animait déjà de grands astrologues comme Ptolémée, Kepler, Cardan. Pour ces conditionalistes avant la lettre, l'astrologie n'est pas «absolue», les manifestations terrestres des effets zodiacaux et planétaires fluctuent en ampleur et qualité selon les conditions d'hérédité, de race, d'éducation, de sexe et selon un contexte économique, politique, culturel, qu'il serait vain de chercher dans les configurations natales.

Les conditionalistes s'attachent à la présence ou l'absence de ces conditions extra-horoscopiques. À contre-courant de la vision fataliste de l'astrologie, le terme conditionaliste rappelle aussi que l'astrologie des Anciens se souciait énormément plus que les Modernes de lier l'interprétation du Ciel aux conditions terrestres. Enfin, le terme de conditionalisme convient au fait que l'horoscope représente moins des entités «absolues» que des cycles et des variations relatives.

L'astrologie conditionaliste explore les modalités du conditionnement de toute espèce aux horloges du micro et du macrocosme. Elle s'est efforcée de montrer que ces horloges, celles de l'atome et celles du dispositif solaire, sont effectivement en relation, non pas d'un point de vue poétique, ésotérique et analogique, mais d'un point de vue formel, c'est-à-dire exprimable par des formules mathématiques mettant en cause les nombres entiers.

Le principe de l'astrologie conditionaliste

L'idée de base de l'approche conditionaliste est que chaque être, à sa naissance, reçoit un double héritage, deux lots de bagages pour son itinéraire : l'un vient de la Terre, l'autre du dispositif solaire, les deux héritages ayant en commun les lois générales concernant l'évolution des dispositifs vivants ou non-vivants.

"Le ciel ne donne pas à l'homme ses habitudes, son histoire, son bonheur, ses enfants, sa richesse, sa femme… mais il façonne sa condition". Ptolémée

L'héritage terrestre comporte l'hérédité qui tient aux géniteurs, à la race, à l'espèce, tout autant qu'aux conditions de vie (conditions climatiques, sociales, politiques, économiques) des géniteurs, de la race, de l'espèce.

Dans l'héritage céleste, nous retenons les cycles et rythmes cosmiques qui marquent les temps forts de l'évolution, accélèrent ou retardent des échéances naturelles propres à l'espèce. Et cette disposition individuelle à retarder ou avancer des échéances propres à l'espèce doit exactement être décelée dans un ciel de naissance et se prêter à une caractérologie, ou alors une psychologie exclusivement fondée sur l'adaptation des rythmes personnels aux rythmes universels conditionnant l'espèce. En d'autres termes, le principe de base devient : l'individualité est une adaptation originale à l'adaptation de l'espèce aux lois universelles.

Les héritages terrestres et célestes sont différents mais non dissociés. Ils communiquent étant donné que les lois de la maturation et nos horloges internes sont sensibles aux horloges externes, ou plus précisément aux horloges non-vivantes du microcosme et du macrocosme.

On ne saurait, pour tout autant, faire de l'homme et de ses conditions terrestres l'instrument passif de son ciel natal. L'ampleur et la diversité des réponses humaines à une même configuration ou dominante astrale dépendent non pas du ciel ou de la terre, mais de l'interaction des héritages terrestre et céleste. C'est pourquoi, en dépit des réponses que tout être apporte à son ciel à l'heure de l'apparition, la relation entre l'homme et le ciel évolue et se complexifie avec l'âge : les réponses deviennent plus élaborées, plus complexes. Le savoir astrologique s'élabore à partir des réponses les plus habituelles aux incitations planétaires.

L'astrologue-astronome Ptolémée a fait état des limites imposées par :

L'astrologue Cardan (1501-1576) ne s'est pas contenté de préconiser une interprétation considérant, hormis le ciel, les conditions réductrices ou augmentcatrices données par l'éducation, le milieu social, l'âge. Comparé à Ptolémée, il proposa de lier l'interprétation d'un ciel à celle des horoscopes composant le milieu affectif, c'est-à-dire aux affinités et antagonismes que peuvent révéler les comparaisons de thèmes des personnes appartenant à une même cellule humaine, familiale ou autre. Cette idée a été adoptée par l'école conditionaliste qui ne dissocie pas les grandes orientations d'une personnalité des sympathies ou antipathies constituées durant les premiers âges de la vie et peut-être décelables par les comparaisons de thèmes.

Gérard Simon, maître de conférences de philosophie à l'Université de Lille, parle dans son ouvrage sur «Kepler astronome-astrologue», de «conditionnement astral» pour traduire la conception de Kepler. Il cite Kepler interprétant son thème dans un esprit conditionaliste : "Il s'ajoute aux effets des planètes l'imagination de ma mère lorsqu'elle me portait… Il s'ajoute toujours que je suis né homme et non femme… en troisième lieu, je tiens de ma mère son tempérament physique, plus apte à l'étude que tout autre genre de vie ; quatrièmement, mes parents n'étaient pas riches, ils n'avaient pas de terre à laquelle je puisse me destiner et m'attacher ; cinquièmement, il y avait des écoles, il y avait des exemples de la libéralité des magistrats en faveur des enfants doués pour les études".

Kepler fait en somme le tour d'horizon des conditions terrestres (familiales, héréditaires, sociales), qu'il ajoute aux déterminations de son ciel réduit, finalement, à une structure qu'en termes savants nous qualifions actuellement de «structure spatio-temporelle».

Après Kepler, l'astrologie a suivi divers autres courants, mais en négligeant la richesse de ce point de vue, aboutissant à la domination du fatalisme dans les études et la pratique de l'astrologie. Ainsi, dans les conditions actuelles, l'influence du milieu n'est fréquemment indiquée que pour mémoire.

Du symbole au signal

Comparé à ses prédécesseurs, l'originalité de l'école conditionaliste consiste à être allé jusqu'au bout des prémices posées par Ptolémée, Cardan, Kepler. En effet, si nous distinguons deux héritages, celui de la Terre et celui du Ciel, alors ce Ciel est bien réel, d'une réalité propre, différente du réel humain terrestre. On peut distinguer ces réalités ; puis il faut retrouver comment elles peuvent communiquer, interagir entre elles.

Ainsi reconnues, les planètes ne sont plus interprétées comme des symboles mais comme des signaux dont il faut percer les secrets, connaître la nature et les règles du langage. Les symboles, quant à eux, appartiennent au réel de l'homme. C'est l'homme qui symbolise, transforme et recrée ainsi à un autre niveau les influences matérielles qu'il reçoit sans obligatoirement les percevoir. S'il les percevait, s'il avait conscience des influences cosmiques ambiantes, il n'aurait pas à les symboliser. Les symboles sont faits pour révéler l'inconnu. Un des grands axes de recherche de l'école conditionaliste est donc l'étude de toute la symbolique astrologique respectant les traditions pour en retrouver les contenus concrets, les signaux objectifs à l'origine des créations symboliques de l'homme.

Cette conception permet présente l'intérêt d'éliminer simplement le problème du libre-arbitre. L'homme peut être déterminé par son environnement géo-solaire comme les interférences entre rythmes cosmiques et rythmes biologiques, mais sa liberté se réalise par un pouvoir de symbolisation qui est d'essence spirituelle.

D'autre part, les influences sociales sont aussi à considérer comme des déterminismes extérieurs contraignant ou facilitant le pouvoir de symbolisation des signaux cosmiques. L'ensemble des angularités de Saturne ne font pas des savants ou des médecins. Comme dirait Kepler, il faut aussi des Universités et un certain statut social des parents pour soutenir de longues études.

Les deux réalités peuvent être explorées par exemple dans le langage des hommes.

Langages et communication

Les hommes s'expriment à la fois par des mots et des comportements. Notre langage n'est pas exclusivement limité à l'expression orale et rédigée, à l'utilisation de codes verbaux et abstraits. Nous nous exprimons et nous communiquons par nos actes, faits et gestes. Enfin, nous pouvons concevoir un troisième niveau de communication : celui de nos cellules, de notre vie psychique et biologique subconsciente. Si nos cellules ne communiquaient pas entre elles par une logique de signaux concrets, énergétiques, chimiques ou autres, l'unité organique, la vie même, seraient impossibles.

Le concept de langage ainsi compris, on peut distinguer trois niveaux complémentaires et d'un caractère concret variable - Chaque niveau est désigné par un mot-clé ou son initiale :

Ce dernier niveau est désigné par le terme «Transcendance», signifiant l'au-delà des perceptions conscientes.

Cette division en trois niveaux peut paraître arbitraire et pour retrouver la complexité du réel, il convient de mettre ces niveaux en relation entre eux, en opérant des transpositions. Ainsi, nous pouvons passer d'un langage à l'autre, de celui des signes conventionnels à celui des signes naturels, de la parole aux actes, ou du langage des évidences sensibles à celui des forces et signaux impersonnels.

A partir de cet exemple, on peut généraliser à tout type de signal : les mots sont réductibles à des informations simples (représentation), bien plus simples, comparativement, aux informations variées que nous apportent nos expériences du réel (existence), et toujours plus simples que les informations qu'il nous reste à découvrir (transcendance).

Le modèle R. E. T.

L'astrologie conditionaliste a conçu un modèle qui divise provisoirement les signaux en trois dimensions ou niveaux : Représentation, Existence, Transcendance.

Ces dimensions peuvent être associées à un degré de complexité des informations :

Autrement, ces trois niveaux peuvent être codifier par un point, deux points, ou quatre points, c'est-à-dire une certaine quantité d'informations. À cet égard, on peut dire par exemple que l'information contenue dans le mot «bactérie» ne nous apprend presque rien sur la bactérie elle-même.

Avec ce modèle «1, 2, 4», nous pouvons traiter les signaux comme un langage, puisque nous savons transposer les langages en reliant les représentations humaines aux informations simples, les faits d'expérience humaine aux informations duelles, les représentations et expériences théoriquement impossibles à l'homme aux informations multiples ou complexes.

Si ces clefs de traduction sont bonnes, on peut imaginer diminuer la dichotomie astronomie-astrologie et retrouver dans les significations astrologiques une logique interne analogue à la logique réglant l'équilibre du dispositif solaire.

Les signaux ne s'expriment pas seulement par des nombres, des figures et des fonctions mathématiques… Dans un autre plan de manifestation, celui du temps, les trois niveaux peuvent user de la durée : l'information simple étant l'instant ou le court terme, l'information moins simple : le moyen terme ; l'information complexe : le long terme... toutes durées que l'astrologie conditionalistes rapprochent des cycles courts, cycles moyens, cycles longs des planètes dans la vision géo-centrée. Les cycles courts de la Lune, Mercure, Vénus, Soleil-Terre, appartiennent ou relèvent du niveau «Représentation», alors que les plus longs cycles de Pluton, Neptune, Uranus relèvent de la «Transcendance», les cycles intermédiaires de Mars, Jupiter, Saturne de «l'Existence». Pour plus de vérité, il faut préciser que la durée du cycle ne s'est pas révélée suffisante pour définir la fonction naturelle d'une planète dans le dispositif solaire. Inversement, une autre lecture peut être faite en termes de fréquence ; les cycles courts correspondant à des fréquences élevées.

Les niveaux s'expriment aussi en matière d'espace, distinguant l'ici, le proche, le lointain...

En résumé, en mettant en relation le langage humain et le langage impersonnel des signaux, nous avons :

Langage humain et langage impersonnel se correspondent. Une relation étant établie, les autres sont impliquées et se suivent. A titre d'exemple, si le Soleil est le «plus haut niveau d'énergie» - dans un dispositif relatif -, alors, le Soleil correspond à l'unique, à l'implication, et chez l'homme, à la Représentation. Si Pluton correspond, dans le dispositif solaire, au long terme et au lointain, alors Pluton correspond au bas niveau d'énergie et , chez l'homme, à son langage sur la Transcendance, à sa multiplicité.

Les variations d'énergie, tout comme les transitions entre éléments repères, du fait de l'homogénéité des relations espace-temps-structure, modifient nos conditions de réceptivité à des informations d'un ordre apparemment différent. Ces variations créent ou favorisent les voies de liaison entre le «R», le «E», le «T», dont les combinaisons par deux (RT, TR, ET, TE, EE, etc) renvoient aux fonctions planétaires, c'est-à-dire à des modèles de traitement des signaux : modèles de communication, d'information et de compréhension.

Application du modèle RET aux significations planétaires respectant les traditions

C'est à partir des significations astrologiques et astro-psychologiques connues que l'école conditionaliste a adopté, pour chaque planète, les correspondances suivantes entre niveaux «R», «E», «T». Ces correspondances ont été publiées dans «Pour une Astrologie moderne» (Editions du Seuil) à titre d'exemples sur les moyens et la façon de mettre en relation les différents plans de manifestation des «signaux» pour comprendre les significations planétaires dans leurs manifestations humaines, en langage et comportement.

Ci-dessous, chaque planète est identifiée comme une combinaison de deux des trois dimensions du modèle RET qui sert à tracer les grandes lignes d'une réinvention du symbolisme astral respectant les traditions.

Transformation du simple en multiple (diffusion, duplication). Saisie de l'idée dans le mot ou le signe, mais également prolifération des significations. Concerne les dispositions mentales à appréhender l'objet et l'inconnu en passant outre l'expérience sensible. Le long terme dans le court terme : flair du futur. La distance dans l'implication : adhésion superficielle.

Transformation de l'unique en dualité. La manière dont s'incarne un modèle ou sa matière. Le poids des mots, c'est-à-dire les représentations vécues, incarnées, somatisées. Les confrontations entre l'expérience sensible et l'expérience présupposée. La représentation de l'objet face à l'expérience de l'objet. L'efficacité émotionnelle des apparences. La mise en situation du paraître. Comment se réalisent les modèles.

Equilibre ou maintien des modèles et des concepts-clés. Leur réduction, leur synthèse ou leurs références à des modèles identiques. L'auto-représentation. Le paraître. L'idéal du moi, le Surmoi comme postulats et entités. L'instant ou le court terme intensifié : le moment, la permanence. La logique des principes se générant eux-mêmes. L'intensité de l'implication : foi, violence, a priori.

Equilibre, maintien ou intensification des moyens concrets d'existence, c'est-à-dire des forces diverses qui assurent la survie personnelle. Intensification de l'expérience par l'objet et les situations de confrontation. Dynamique de l'action : l'activisme. Intensification de la présence. Le phénomène, le vécu et sa problématique posés en postulats.

Simplification de la dualité. Concepts et choix réductifs clarificateurs. La formulation, le diagnostic, le langage de l'expérience. Les aptitudes à classer, décrire, mettre en vedette, choisir pour l'efficacité. Le vécu érigé en modèle. Les situations interprétées au mieux de ses principes et de son image de marque. Les moyens de sortir du rang. Les bénéfices de l'action. La présence changée en implication : intervenir, s'imposer, arriver.

Complexification de la dualité. Situations inintégrables dans les concepts et modèles simples. Recherche des valeurs principales, quête d'un en-soi. Atteinte problématique de l'universel (ou anti-modèles) par une expérimentation non moins problématique. Relativité de l'expérience personnelle qui se situe d'elle-même dans un référentiel anti-personnel. Le moyen terme reporté à plus tard : le train manqué. La présence changée en distance : le détachement, la froideur, la distraction. Accession éventuelle à une philosophie universelle par décantation des conduites expérimentales. Appréhension, par ces conduites, de modèles complexes.

Réduction de la complexité. Emergence. Election de modèles simples à partir de postulats non-expérimentaux. Transformation des informations floues, complexes, contradictoires en idées-forces, orientations efficaces. Sélection, polarisation. Mise en vedette de ce par quoi on s'estime universel. Se poser habituellement et en règle, sans passer par le moyen terme. Le long terme pour tout de suite : la révolution permanente, la notion d'instant historique. Se dégager des problématiques : les arbitraires, la philosophie à coups de marteau.

Réduction relative ou partielle de la complexité. La pluralité changée en dualité : moins de bataille mais toujours la guerre. Le mi-chemin. L'universel dans son vécu : ce par quoi on est habité ou trompé. Le passage de l'incertain au envisageable, de l'invraiidentique au vraiidentique. La transformation en conduites expérimentales des multiples conditionnements invisibles. L'expression du non-perçu dans le vécu : le langage de l'universel par les faits, les phénomènes et les sensations. Le long terme changé en moyen terme : le paradis sur Terre mais pas pour tout de suite. La distance devient présence : les dieux s'humanisent.

Équilibre, maintien ou intensification de la complexité. Maintien du secret et de l'inconnaissable par la pluralité des interférences et des simultanéités inaccessibles à l'homme victime de l'unicité de sa pensée (voir Jean Fourastié qui a failli trouver le R. E. T. ). Intensification des notions propres à la distance : l'insondable, l'abîme, le lointain en fuite, le long terme qui n'arrive jamais. Intensification de l'être : source d'anti-modèles. L'ego réfractaire.

Le dispositif Représentation-Existence-Transcendance comme langage humain en relation avec le langage impersonnel des signaux, suffit par conséquent pour démontrer la logique interne des significations, analyser les typologies, en créer de nouvelles, et maîtriser l'interprétation des aspects et des signatures dominantes d'un ciel de naissance.

Sources

Recherche sur Amazone (livres) :




Ce texte est issu de l'encyclopédie Wikipedia. Vous pouvez consulter sa version originale dans cette encyclopédie à l'adresse http://fr.wikipedia.org/wiki/Astrologie_conditionaliste.
Voir la liste des contributeurs.
La version présentée ici à été extraite depuis cette source le 18/03/2009.
Ce texte est disponible sous les termes de la licence de documentation libre GNU (GFDL).
La liste des définitions proposées en tête de page est une sélection parmi les résultats obtenus à l'aide de la commande "define:" de Google.
Cette page fait partie du projet Wikibis.
Accueil Recherche Aller au contenuDébut page
ContactContact ImprimerImprimer liens d'évitement et raccourcis clavierAccessibilité
Aller au menu